1000 films pour aimer le Western
1000 FILMS POUR AIMER UN GENRE EN DISPARITION : LE WESTERN
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Date de création : 14.04.2008
Dernière mise à jour :
14.11.2025
1368 articles

center;">MAINTENANT ON L’APPELLE EL MAGNIFICO
: E poi lo chiamarono Il Magnifico 1972
de Enzo Barboni (crédité E.B Clucher)
BONUS VIDEO
« On l’appelle El Magnifico » par Jean-François Rauger (29’)
« Entre western et comédie, la signature terence Hill » par Philippe Lombard (30’)
le livret « Des yeux couleur d’enfant » par Christophe Chavdia (28 pages)
Le western parodique avait trouvé son dieu, son personnage. Le démystifier fut une erreur autant mettre Fred Astaire dans un rôle de tueur en série. L’erreur vu le rejet du public fut reconnue et non rééditée
Le film fut tourné deux après le diptyque « Trinita « et avant un autre rôle en 19 73 :Mon nom est Personne(Il mio nome è Nessuno) de Tonino Valerii

Ce personnage mal venu se nomme Sir Thomas Fitzpatrick Philip Moore dit « Tom » et vient de débarquer dans l’Ouest, un univers loin de sa morale, de ses coutumes et encore moins ses marques. il va tenter d’être un héros du Far West délaissant la poésie et défendant sa bien aimée
L’ensemble tout sympathique fusse-t-il se laisse voir et l’intrigue sans surprise ; tout est centré sur le charismatique Terence Hill

E.B CLUCHER pseudonyme du réalisateur Italien fut d’abord un directeur de la photographie notamment pour Sergio Corbucci une quinzaine de fois (1961 :Romulus et Remus (Romolo e Remo)---1 962 :Le Fils de Spartacus (Il Figlio di Spartacus)--- 1966 :Django de Sergio Corbucci ) et pour de nombreux westerns (1966 :Texas Adios (Texas, addio) de Ferdinando Baldi--- 1968 :Django, prépare ton cercueil ! (Preparati la bara!) --- 1971 : Quand les colts fument... on l'appelle Cimetière (Gli fumavano le Colt... lo chiamavano Camposanto) de Giuliano Carnimeo --- ; genre qu’il épousera dès 1970 avec 1970 : Ciak Mull (Ciakmull - L'uomo della vendetta) et surtout celui qui féra sa renommée ainsi que celle de Terence Hill et de son co-équipier Bud Spencer , les Starsky et Huch du western et pour qui il tournera en 1976 :Deux super-flics (I due superpiedi quasi piatti) en 1984 :Attention les dégâts ! (Non c'è due senza quattro) en 1987 :Renegade (Renegade — Un osso troppo duro) et réalisera un film avec les personnages deTrinita nous présentant leurs fils.

TERENCE HILL connu pour les comédies d'action sera connu pour les films précités et pour les autres personnages qu’il interprètera longuement : Lucky Luke --- Don Matteo Bondini un prêtre inspiré de Don Camillo et cela durant 20 ans sur le petit écran (2000 - 2022 : Un sacré détective (Don Matteo) (série télévisée, 260 épisodes) et Pietro un garde forestier 2011 - 2015 :Un passo dal cielo (série télévisée, 44 épisodes) :
L’acteur débuta comme second rôle (1951 :Vacanze col gangster de Dino Risi --- 953 :Les Amants de Villa Borghese (Villa Borghese) de Vittorio De Sica -- 1958 :Anna de Brooklyn (Anna di Brooklyn) de Vittorio De Sica -- 1963 :Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti -- , puis acteur (1975 :Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) de Damiano Damiani ---- 1977 :Il était une fois la Légion(March or Die) de Dick Richards : --- 1980 :Un drôle de flic (Poliziotto superpiù) de Sergio Corbucci et enfin réalisateur : 1984 :Don Camillo, 2009 et 2012 2009 :Doc West, -- 2018: Il mio nome è Thomas jouant mes premiers rôles

Monte Walsh (1970) de William Fraker
center;">Avec Lee Marvin Jack Palance & Jeanne Moreau
center;">Sidonis Calysta le 18-09-25
center;">Édition Collection Silver Blu-ray + DVD
center;">Présentation du film par Noel Simsolo et un documentaire de John Boorman sur Lee Marvin
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center;">
C’est un film américain certes mais pas Hollywoodien ; nous entendons par là un cinéma qui refuse toute emphase, tout phantasme, toute polarisation et fraude » avec le convenu, le traditionnel, le copier-coller et toute fioriture. Il se veut brut de décoffrage et refuse de noyer l’Histoire

Cette fois on imprime la réalité et on boude la légende. Déjà en 1950 Delmer Daves avait stipulé avec son superbe « Cow-boy » en 1958 avec son interprète fétiche Glen Ford que la vie de vacher était long d’être un long fleuve tranquille. Peu de films suivirent tant ils dénaturaient le mythe et pourtant ils sy gagnèrent en réalisme
Le western et même le cinéma d’alors : les années 70 affichaient outre un franc parler un ton de révolte et prônait un libéralisme provocateur qui se retrouvait même dans la littérature de ce pays.
Nos deux protagonistes singuliers voire anti-héros sont deux amis vivant en couple sans qu’il y ait ambiguïté : Monte Walsh (Lee Marvin ) et Chet Rollins (Jack Palance ). Leur devenir est mis en causedu fait du développement urbain et les amène sans jeu de mots à changer de fusil d’épaule pour éviter un chômage qui pointe à l’horizon ; des dires confirmés par leur régisseur Cal Brennan (Jim Davis )
Nos deux vachers dès lors (cowboys en anglais) vont épouser un autre métier et prendre femme ; Rollins va épouser une veuve et tenir une quincaillerie et Monte Walsh demandera la main d’une prostituée française Martine (Jeanne Moreau ) qu’il ; vaut emmener vers d’autres horizons
Mais d’autres n’auront point cette opportunité et choisiront l’illégalité pour survivre comme un des leurs Shorty Austin (Mitch Ryan ) qui avec une autre racaille va semer la zizanie
Œuvre noire et méritante, honnête et audacieuse qui crache un pessimiste réaliste vu les faits de la société américaine ( guerre froide – Vietnam-et choc pétrolier autres bouleversements socio- politiques)
Le western n’a pu contrecarrer cette réalité puisque déjà tous les autres genres la dénoncèrent progressivement ou simultanément

Cette œuvre différente fait partie de ces westerns désenchantés nés et non point accidentellement lors de la mutation du genre commencée quelques années plus tôt où les héros sont fatigués, où le monde s’industrialise au détriment de la gente humaine contrainte à l’abandon où à la reconversion tant la société se meut et l’Ouest se meurt.
Le film eut droit à un remake un téléfilm western américain de 2003 réalisé par Simon Wincer , avec Tom Selleck , Isabella Rossellini et Keith Carradine

Noel Simsolo () dira de ce film : « Les USA feront de plus en plus de films masochistes que la critique aveugle traitera de contestation courageuse. Plutôt que d’assumer la décadence, Hollywood préfère la masquer sous des larmes »
W.A.FRAKER ne fit que 2 ou 3 films et principalement quelques participations télévisuelles , pour cause son premier métier fut directeur de la photographie dans les années 60-90 servant des réalisateurs inégaux comme de Mark Rydell: 1967: Le Renard (The Fox) -- de Roman Polanski -- 1968 :Rosemary's Baby et de Peter YatesBullitt -- de Richard Brooks 1977 :À la recherche de Mister Goodbar (Looking for Mr. Goodbar) -- de Martin Ritt 1985 :Murphy's Romance

LEE MARVIN A son nom ; on devrait jouer du corps lui qui parmi tous les méchants sut utiliser le sien -de corps -pour habiter moult personnages méchants à ses débuts et fort appréciables par la suite
Dans les affreux jojos retenonsDuel sans merci (1952) face à Audie Murphy et sa rencontre avec Randolph Scott acteur charitable qui trônait la mise en valeurs des seconds rôles ; ainsi ils se croisèrent dans en 1952 :Le Relais de l'or maudit (Hangman's Knot), de Roy Huggins : en 1953 :Les Massacreurs du Kansas (The Stranger Wore a Gun) d'André de Toth et en 1956 :Sept Hommes à abattre (Seven men from now) de Budd Boetticher où il est époustouflant et rafle presque la première place ; ajoutons une autre rencontre ; John Wayne à qui il échangera des dialogues savoureux dans en 1962 :L'Homme qui tua Liberty Valance (The Man Who Shot Liberty Valance) de John Ford , un an après l’avoir croisé dans en 1961 :Les Comancheros (The Comancheros) de Michael Curtiz et le retrouvera dans le non moins attrayant en 1963 :La Taverne de l'Irlandais (Donovan's Reef) de John Ford . il sut attirer vers lui des grands réalisateurs et obtenir des mémorables premiers rôles avec en 1967 :Les Douze Salopards(The Dirty Dozen) de Robert Aldrich ( 4 e participation avec ce cinéaste) et en 1980 :Au-delà de la gloire(The Big Red One) de Samuel Fuller qui fut son couronnement avec 1965 :Cat Ballou d'Elliot Silverstein et avec en 1966 :Les Professionnels (The Professionals) de Richard Brooks .Il reste une figure imposante du cinéma américain avec ce rôle d’un être attachant frustre , mais sincère, bagarreur et peu rancunier. Il est simple, prêt à toute facétie, auguste qui sait être digne (face au mariage de son collègue) et majestueux face à une demande similaire faite à Martine dépassé par les évenements qui avoue que « Rien n’a plus de sens , j’ai dû m’habituer à plein de choses »constat peut-être d’un pays dépourvu.

JACK PALANCE qui, eut un parcours similaire avec une reconnaissance tardive glana lui aussi un oscar. IL fut lde même l’un des plus méchants du cinéma américain (Panic in the Streets (1950)-L'homme des vallées perdues (1953) et chez Sergio Corbucci où il fut superbe avec ( El mercenario (1968) et Companeros (1970). Il fut demandé aussi par GodardLe mépris 1963- par Vitrorio de SicaLe jugement dernier 1961 Tim burton et fut remarqué en fin de carrière dans l’attendrissant Bagdad Café dans le rôle d’un peintre marginal. Il honora de sa présence plusieurs westerns américains : 1953: Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead) de Charles Marquis Warren1957:Jicop le proscrit (The Lonely Man) d'Henry Levin où il est magistral -- 1969 :La Haine des desperados (The Desperados) d'Henry Levin -- 1972 :Les Collines de la terreur (Chato's Land) de Michael Winner-- 1973 :L'Or noir de l'Oklahoma (Oklahoma Crude) de Stanley Kramer -
Histoires du siècle dernier
(Stories of the Century)
1954-1955 S2/E39 Durée :30 mn noir et blanc
Créateur ; Republic Pictures
Producteur : REPUBLIC PICTURES
SYNDICATION

SYNOPSIS
Au XIXe siècle, Matt Clark, enquêteur à la compagnie des chemins de fer du sud-ouest, assisté par Frankie Adams (puis Margaret Jones), rencontre au cours de ses investigations des figures légendaires de l'Ouest américain.
FICHE TECHNIQUE
REALISATION :
WILLIAM WITNEY (30 premiers épisodes, 1954-1955) et
FRANKLIN ADREON (9 derniers épisodes, 1955) réalisera plusieurswesterns dont Le carrefour de la vengeanceque nous avons chroniqués article 1081 dontnous notions « du cinéma moralisateur, pépère dans l’air du temps qui ressemble pilus à un produit qu’à un cinéma d’auteur »
SCENARIO :
DWIGHT CUMMINS (2 épisodes, 1954),
GERALD GERAGHTY (2 épisodes, 1954), travaillera pour la Gene Autry Productions dans des westerns de plus ou moins 60’ mettant en vedette Gene Autry & Gail Davis
MILTON RAISON (9 épisodes, 1954-1955), scénarisa des épisodes de séries d’alors :The Adventures of Kit Carson—The Roy Rogers Show -- The Range Rider -- Frontier -- Doctor
JOE RICHARDSON (4 épisodes, 1954-1955), au parcours identique
MAURICE TOMBRAGEL (21 épisodes, 1954-1955)
BUDD LESSER (2 épisodes, 1955) participa à une vingtaine de
séries des années 50
DIRECTEURS DE LA PHOTOGRAPHIE :
Bud Thackery(34 épisodes, 1954-1955) et
John L. Russell(5 épisodes, 1955)
![]()
PILOTE ; S1.E1 ∙ Belle Starr
Un tampon géant vient s’imprimer sur un cadre et nous fait découvrir le titre original L’épisode qui se déroule en Arkansas est consacré à un fameux hors-la-loi Belle Star surnommée la reine des bandits qui accompagné de 2 d’entre eux va rejoindre un troisième Star (Ric Roman) jouant aux cartes avec l’argent qu’elle lui a remis pour le déposer à la banque. Le détective des chemins de fer Matt Clark () qui retrouve une ancienne collègue Frankie Adams va avec elle poursuivre Belle Star. L’époux de celle-ci sera arrêté puis libéré par sa femme qui enfin prise sera accusé et condamné pour vol de chevaux. L’épilogue nous apprend sa mort orchestrée par un inconnu.
Rien de captivant ; excepté l’élément féminin qui n’est plus un faire valor mais une entité différente ; tout est orchestré, simplifié et basique et empli de facilité ; morale de l’histoire la justice est faite et au diable la vérité historique. L’essentiel résidait dans le côté ludique, le divertissement et rien d’autre

La série produite par Hollywood Television Service-Republic Pictures (I)Studio City Television Service va évoquer le cinéma fera de même ; ne fusse que pour cette héroïne plus d’une dizaine de fois
La série passait en revue tous « les héros ‘ de l’Ouest -voir liste ci-dessous)

MARY CASTLE 1931-1998 (Cheyenne-- Frontier Doctor-- Gunsmoke ) débuta dans des westerns de la Columbia Pictures puis dans d’autres plus mémorables mais dans des seconds rôles féminins ( 1952 :Victime du destin The Lawless Breed de Raoul Walsh 1953 :Le tueur du MontanaGunsmoke de Nathan Juran --1957La Dernière chevauchée Last Stagecoach West de Joseph Kane-- ) avant de se rabattre dans les sériestélévisées et de se retirer à 31 ans marquant peu le genre

MARIE WINDSOR 1919-2000 (Cheyenne -- The Californians -- Maverick -- Bat Masterson -- Yancy Derringer -- Rawhide - Tales of Wells Fargo --Bonanza --Gunsmoke –etc.) eut une carrière plus importante.c’était une véritable actrice qui joua souvent les femmes fatales, décisives et souveraines tant dans les séries – elle en fit plus de 80 tout genre confondu et fit une centaine de films dont les plus remarquables demeurent : Two-Gun Lady un western qui privilégie les femmes-- L'Énigme du Chicago Express (The Narrow Margin) de Richard Fleischer ; un de ses plus saisissants rôles et tournera pour Vincente Minnelli --- Abraham Polonsky-- Edward Dmytryk et Stanley Kubrick Elle occupe l’écran comme pas deux et détrône souvent ses partenaires masculins

JIM DAVIS 1909-1981 (Cowboy G-Men-- Yancy Derringer -- The Tall Man -- The Deputy—Outlaws-- Gunslinger -- Whispering Smith etc..) est une autre figure du genre en moins imposant, malgré une carrière imposante en troisième couteau via une multitude de westerns de Northwest Rangers (1942) à Le souffle de la tempête (1978) Comes a Horseman de Alan J. Pakula en passant par La captive aux yeux clairs (1952) The Big Sky etRio Lobo 2 deux œuvres fortes de Howard Hawks. Il eut des premiers rôles dans des westerns modestes et dans le fameux feuilletonDallas qui lui apportera une plus grande renommée que sa participation souvent modeste à une quarantaine de westerns où il eut parfois le premier rôle jouant plus sur son attrait physique qu’artiste
WILLIAM WITNEY 1915-2002 est un Stakhanoviste de la réalisation avec moult westerns ( parfois 4 à 5 par an) crédité de 140 films et séries en 45ans. Il est considéré comme l’un des pères du « sérial » ces longs films à épisodes de durée de plus de 4 heures. Il montre ici un savoir faire comme beaucoup de ses artisans qui firent merveille avec une réalisation vigoureuse

MILTON RAISON 1903-1982 (The Lone Ranger -- The Adventures of Kit Carson – 26 épisodes de The Roy Rogers Show etc.) et travailla pour Republic Pictures avec les scripts de petits westerns inconnus ou oubliés

Season 1, Episode 7 (- Johnny Ringo
Scenario de Maurice Tombragel Réalisateur : W.Witney
Le renommé hors-la-loi Johnny Ringo – renommé ameux par sa représentation cinématographique – se cache sur le pseudonyme de John B. Ringgold et le fameux détective des chemins de fer Matt Clark va à sa rencontre. Il fait la connaissance de sa sœur qui présente le bandit comme un courtier en bétail de l’Arizona.Matt se présente lui aussi sous un faux nom et croise Frankie Adams qui s’est infiltré à Tombstone .il assiste à un duel entre Ringo et un cowboy qui gagne la partie. Puis le bandit surprend Frankie Adams qui fouille sa chambre et y sera enfermée. Durant son explication pour l’attaque d’un train, à 2 larrons ; la sœur inquiète débarque qu’il revoit illico. Adams fait chambardement qui voit Matt affronter à poings nus qui sera assommé puis frais comme un gardon part pour stopper l’attaque du train en question où il monte avant l’attaque. Celle-ci verra un échange de coups de feu et la fuite de Ringo et ses hommes. Un affrontement de nuit comme de jour aura lieu entre les 2 protagonistes masculins dans un lieu désertique ce qui les affaiblira. Adams récupère un Matt affaibli et plus tard un Ringo sans vie
MAURICE TOMBRAGEL 1913-2000 (Elfego Baca--The Californians-- Trackdown etc.) fera partie de l’écurie Disney réalisant 30 épisodes dans les années 1960.avant d’être évincé : 1962.Un pilote dans la Lune (Moon Pilot) réalisé par James Neilson-- en 1967.Rentrez chez vous, les singes ! (Monkeys, Go Home!)de Andrew McLaglen en plus du premier précité et ces films qui sont loin d’être des chefs d’œuvre ont pour vocation d’être ludiques

WILLIAM WITNEY, 1915-2002 sait mener l’affaire l’épisode est sans reproche pour la réalisation.
Ce fut est un Stakhanoviste de la réalisation avec moult westerns ( parfois 4 à 5 par an) crédité de 140 films et séries en 45ans. Il est considéré comme l’un des pères du « sérial » ces longs films à épisodes de durée de plus de 4 heures. Il montre ici un savoir faire comme beaucoup de ses artisans qui firent merveille avec une réalisation vigoureuse
DONALD CURTIS Malgré un visage gracieux et trompeur et une présence importante durant les années40-50 dans cinquante séries et dans moult films (1956 :La Mission du capitaine Benson de Joseph H. Lewis – 1957 : Le survivant des monts lointainsde James Neilson) il n’est point familier pour le public. Est-ce dû au fait qu’il fut un troisième rôle presque que tout le temps ?
LISTE DES EPISODES
PREMIERE SAISON
Belle Starr (Marie Windsor – 23 janvier 1954)
Billy the Kid (Richard Jaeckel – 30 janvier 1954)
Frank and Jesse James (Richard Travis : Frank James / Lee VanCleef
: Jesse James – 7 février 1954)
Geronimo (Chief Yowlachie – 14 février 1954)
Quantrill and His Raiders (Bruce Bennett – 21 février 1954)
Cattle Kate(Jean Parker – 28 février 1954)
Le Butin (Sam Bass) (Don Haggerty – 4 mars 1954)
Johnny Ringo (Donald Curtis – 11 mars 1954)
Le Gang Dalton (The Dalton Gang) (Myron Healey : Bob Dalton / Fess
Parker : Grat Dalton – 18 mars 1954)
Doc Holliday (Kim Spalding – 25 mars 1954)
The Younger Brothers (George Wallace : Cole Younger – 2 avril 1954)
John Wesley Hardin (Richard Webb – 9 avril 1954)
Joaquin Murietta (Rick Jason – 16 avril 1954)
Tiburcio Vasquez (Anthony Caruso – 23 avril 1954)
Le Chef Crazy Horse (Chief Crazy Horse) (George Keymas –30/4/54
Black Bart (Arthur Space – 6 mai 1954)
L'Étrange Shérif (Henry Plummer) (John Dehner – 13 mai 1954)
Bill Longley (Douglas Kennedy – 20 mai 1954)
Harry Tracy (Steve Brodie – 27 mai 1954)
La Bande sauvage (The Wild Bunch of Wyoming) (Joe Sawyer :
Butch Cassidy – 3 juin 1954)
LeTraquenard (The Doolin Gang) (Leo Gordon : Bill Doolin– 10/06/54
Little Britches (Gloria Winters – 17 juin 1954)
Black Jack Ketchum (Jack Elam – 24 juin 1954)
Tom Horn (Louis Jean Heydt – 1er juillet 1954)
Prairie en flammes (Ben Thompson) (Dick Simmons – 8 juillet 1954)
Clay Allison (Jack Kelly – 15 juillet 1954)

SECONDE SAISON
Burt Alvord (Chris Drake – 2 janvier 1955)
Apache Kid (Kenneth Alton – 9 janvier 1955)
Tom Bell (Glen Gordon – 16 janvier 1955)
Kate Bender (Veda Ann Borg – 23 janvier 1955)
Augustine Chacon (Rodolfo Hoyos Jr. – 30 janvier 1955)
Cherokee Bill (Pat Hogan – 1er février 1955)
Nate Champion (Henry Brandon – 6 février 1955)
Sontag and Evans (John Smith : John Sontag / Morris Ankrum :
Chris Evans – 8 février 1955)
Rube Burrows (Paul Picerni – 15 février 1955)
Jim Courtright (Robert Knapp – 22 février 1955)
Milt Sharp (Don « Red » Barry – 28 février 1955)
Jack Slade (Gregg Palmer – 4 mars 1955)
H. Musgrove (John Archer – 11 mars 1955)
m
Davy Crockett
1954-55 S2 / Episodes : 5
45 mn noir et blanc
Créateur William Blinn
Producteur : Wallt Dysney
THEME
Un trappeur désire pactiser avec ses ennemis avec les indiens
LISTE DES EPISODES /
****Les épisodes de la série ont été réutilisés pour produire deux films sortis au cinéma :

Davy Crockett, roi des trappeurs (Davy Crockett, King of the Wild Frontier) sorti le 25 mai 1955[19], condensé de la première saison
Davy Crockett et les Pirates de la rivière (Davy Crockett and the River Pirates, 81 min) sorti le 5 juillet 1956

La société Disney a produit une seconde série, en un pilote de 90 minutes et 4 épisodes de 45 minutes, diffusée sur NBC en 1988-1989 avec Tim Dunigan (Davy Crockett) et Gary Grubbs (George Russel)
Dans les années 1950 puis 1960, le studio Disney adapte ses productions en bande dessinée.
PILOTE : Davy Crockett: Indian Fighter
Réalisation : Norman Foster
Scénario : Thomas W. Blackburn
Avec FESS PARKER--Buddy Ebsen----Basil Ruysdael
Davy (Fess Parker ) cherche une trêve, avec les Indiens. Nous faisons sa connaissance ainsi que celle de son coéquipier George Russel (Buddy Ebsen) personnage fictif à priori et celle du général Jonathan Jackson (Basil Ruysdael ) autre illustre figure de la guerre de Sécession pour qui il va travailler. Il est marié à Polly (Helene Stanley ) et père de 2 enfants
Il fait affronter un ours et un indien avec lequel il deviendra ami et va coopérer pour la paix entre les deux peuples
Les épisodes sont présentés par Walt Disney et conclus par lui.
Nous sommes dans le téléfilm familial où l’américain est un ordre droit et un bon père et un mari prévenant, le tout saupoudré d’un message de tolérance
De nouveau le discours ronflant d’une Amérique sûre et fière d’elle qui a ses héros de rechange présentés par le conventionnel et moraliste Walt Disney réalisée par le « Disnéaste de service » Norman Foster
Nous sommes loin des mystifications qui viendront plus tard et corrigerons un portait trop consensuel. ( 2015 : La légende de Davy Crockett de André de Villiers---2024La ballade de Davy Crockett de Derek Estlin Purvis

D’autres acteurs rendossèrent le rôle :1916 : Davy Crockett de William Desmond Taylor -- 1950 : Davy Crockett, Indian Scout de Lew Landers avec -George Montgomery- -- -- 1989The New Adventures of Davy Crockettune série avec Johnny Cash – On prêtera même des aventures à ses descendants :1941 : The Son of Davy Crockett de Lambert Hillyer -- 1956 :Frontier Woman de Ron Ormond qui voit sa fille devenir une héroïne –2004 Alamo de John Lee Hancock avec Billy Bob Thornton.
L’impact de la série sera forte du fait qu’elle s’inspire d’un personnage historique (John Wayne jouera son rôle dans Alamo qu’il réalisera )
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FESS PARKER est un acteur qui fut phagocyté par ce personnage historique qu’il incarnera ailleurs que dans cette série et en bordera d’autres(Histoires du siècle dernier-- Annie Oakley -- Destry etc.) fut phagocyté par ce rôle tout comme William Boyd par Hopalong Cassidy.Il IL participa à une quinzaine de séries dont Daniel Boone 1954-1970 avec 164 épisodes et une trentaine de films
Nous pûmes le voir de façon plus ou moins présente dans des westerns : 1952 :La mission du commandant Lex Springfield Rifle et en 1953 Thunder Over the Plains de André de Toth—1956 :Sur la piste de l'Oregon Westward Ho the Wagons! de William Beaudine -- 1957Violence au Kansas The Jayhawkers! de Melvin Frank-1967 en rôle principalSmoky de George Sherman-
Il reprit souvent ce personnage qui lui apportera une reconnaissance

En France, la première série a été diffusée à partir du 3 novembre 1976 sur TF1 dans l'émission Les Visiteurs du mercredi, puis l'intégrale en 16 épisodes de 15 minutes du 4 janvier au 19 avril 1986. Puis rediffusion en 8 épisodes de 30 minutes du 10 septembre au 29 octobre 1986 dans Le Disney Channel sur FR3.Pour l’anecdote le prénom qui rappellerait une anatomie fut changé en Fier et une chanson de Annie Cordy reprenant le thème musical fut un tube pour les enfants.

WALT DYSNEY produisit une anthologie (Le monde merveilleux de Disney) de plus de 700 épisodes concernant plusieurs genres dont le western dont cette série etTexas John Slaughter, Elfego Baca, le renard des marais, Daniel Boone, Corky and White Shadow toutes présentées dans cet ouvrage. Les épisodes paraissaient de façon libre voire discontinus et parfois ressortis en films :Davy Crockett, King of the Wild Frontier (sorti en 1955) etDavy Crockett and the River Pirates (1956).

BUDDY EBSEN jouera souvent les personnages joviaux, sympathiques et fut remarqué dans moult westerns de La Fille du Far West (1938) de Robert Z. Leonard à des séries : Northwest Passage -- Bonanza -- Maverick -- Riverboat -- Gunsmoke --Rawhide.
THOMAS W. BLACKBURN 1913-1992 (Le cheval de fer- Daniel Boone—Cheyenne etc. ) Des westerns seront adaptés de ses romans
NORMAN FOSTER a réalisé de nombreux films deCharlie Chan et deMr. Moto deux deyectives asiatiques à la mode dans les années 30, ainsi que des projets pour Orson Welles (film d'anthologie panaméricain inachevé,Tout est vrai (1941).) pour qui il fit « Journey into Fear » (1943) et pour Walt Disney dont il devint un des réalisateurs fétiches. Il tourna de bonnes choses telles Rachel et l'étranger en 1948 et en 1936I Cover Chinatown réputé comme original où il tenait le rôle principal car il fut acteur aussi dans une cinquantaine de films. Ajoutons quelques wsterns : 1965Indian Paint--1968Le dernier bastionThe Legend of Custer sur une autre figure de l’Ouest
Action in the Afternoon
Voilà une série qui est présentée pour parfaire simplement notre ambitieux projet dont nous ne savons pas grand-chose Il eut peu d’épisodes du fait de sa courte existence du du 2 février 1953 au 29 janvier 1954 soit une unique saison Un seul épisode est visible difficilement sur internet et pas très lisible.

“La série mettait en vedette le cow-boy chanteur Jack Valentine, accompagné du trio Tommy Ferguson. Parmi les autres personnages figuraient Ozzie, l'acolyte de Jack, le shérif Ace Bancroft et Kate, éditrice du Huberle Record . [ 1 ] Red Cotton tenait le saloon local, le Copper Cup”

1953 S1/ E ? 30 mn N & B soit le pilote
Le cowboy chanteur Jack Valentine a parcouru le champ de tir à Huberle, Montana avec le shérif ; Kate, la rédactrice en chef et éditrice du journal ; et Ozzie, le partenaire dense de Jack.
La série fut traitée d’amateur, de violente et de peu captivante. Elle est due à Charles Vanda producteur de séries inédites des années 50 (Movietown USA-- Big Top) et symbolise la difficulté créative dans ce domaine et sur le petit écran. Dans ces années 50 ;décennies fructueuses allaient naitre ne fussent que dans le western : 90 séries

Jack Valentine 1922-1975 semble n’avoir rien d’autre tourné
Harriss Forrestpossède une filmographie réduite à ,1 ou 2 rôles
Sam Kressen 1918-1991 qui joue le shérif et eu une carrière éphémère de 2 rôles

PROCHAINE RECENSION

15-Les aventuriers du Far-West
(Death Valley Days)

DUREE :1952-1970
EPISODES : 452 de 25 mn
SAISON :18
CREATION : Ruth Woodman
PRODUCTION:McGowan Productions & Flying A Productions
SYNOPSIS: anthologie d'histoires mettant en scène des
héros du Far West à la fin du XIXe siècle.
REALISATEURS :divers voir ci dessous
SCENARISTES ; Ruth Woodman-- Stephen Lord -- Budd Lesser -- Robert Hardy Andrews –
ACTEURS : Stanley Andrews le narrateur
En France, la série a été diffusée à partir du 3 février 1979 sur TF1.
Elle fut créée en syndication
Elle est considérée comme l’une des séries américaines des plus longues et placée deuxième du western télévisuel par sa durée
PILOTE : S1.E1 ∙How Death Valley Got Its Name (épisode en N & B)
(Comment la Vallée de la Mort a obtenu son nom)
Un convoi se dirigeant vers l’Ouest va traverser un désert peu hospitalier sous un ciel torride et sur une faible réserve d’eau. Parmi eux se trouvent : James Arcane un ancien cuisinier victime d’un AVC et son jeune fils Charlie et sa femme Virginia ., un autre fermier Bennett Asa et sa femme Sarah, Luis Manley rt d’autres
La traversée sera pénible pour ces pionniers face au soleil aux terres arides et aux conflits humains
Nous sommes dans l’âge d’or du western certes mais pas sur la télévision ; écran populaire et moraliste drainant un cinéma patriotique ,paternaliste avec leurs vérités et leurs constats positifs : si l’homme est méchant parfois ; il n’en est pas moins brave : les pionniers sont les maitres d’œuvre de la nation.
Episode raconté par un narrateur à chaque histoire Stanley Andrews ci dessous) et plus tard par une star : Robert Taylor
Réalisateur : Stuart E. McGowan
Scénariste / Ruth Woodman
Acteurs :
BRAD JOHNSON (Lewis Manly) (1924-1981) trainera ses guêtres dans des séries
Phyllis Coates | |
|---|---|
PHYLLIS COATES (Virginia Arcane) (1927-2023) est connue pour son interprétation de la journaliste Lois Lane dans le filmSuperman etles hommes-taupes (1951) et dans la première saison de la série téléviséeLes Aventures de Superman et participa à la vogue des westerns de 60 mn tournés à la va-vite : El Paso Stampede (1953) --Gunfighters of the Northwest (1954)-- et dans plus de 70 séries
KIRK RILEY (James Arcane) a peu tourné
LOUISE LORIMER (Sarah Bennett) (1898-1995) peut s’enorgueillir d’être même de façon ephemère dans des films imposants : 1947 :Le Mur invisible (Gentleman's Agreement) d'Elia Kazan-- 1948 :La Fosse aux serpents (The Snake Pit) d'Anatole Litvak -- 1950 :Mark Dixon, détective (Where the Sidewalks Ends) d'Otto Preminger -- 1959 :Le Génie du mal (Compulsion) de Richard Fleischer -- 1964 :Pas de printemps pour Marnie (Marnie) d'Alfred Hitchcock :-- 1977 :Bande de flics (The Choirboys) de Robert Aldrich
JOHN PARRISH (Asa Bell Bennett) (1896-1988) le mpoins méconnu du lot fut un acteur convaincant qui tourna pour les plus grands : 1947 :La Brigade du suicide (T-Men) d'Anthony Mann-- - 1948 : La Dame au manteau d'hermine (That Lady in Ermine) d'Ernst Lubitsch et Otto Preminger : - -- 1949 :Secret de femme (A Woman's Secret) de Nicholas Ray -- 1949 :Samson et Dalila (Samson and Delilah) de Cecil B. DeMille -- - 1953 :Jules César (Julius Caesar) de Joseph L. Mankiewicz -- 1954 : LaComtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa) de Joseph L. Mankiewicz --
NOTES BIOGRAPHIQUES
MCGOWAN PRODUCTIONS la société du scénariste Stuart e. Mcgowan qui produisit Sky King (1951-1962) et des films de série Z
FLYING A PRODUCTIONS la société de Gene Autry qui produisitThe range rider-- The Gene Autry show -- The adventures of Champion-- Annie Oakley)
RUTH WOODMAN (1894-1970) participle de façon moins active à: Suspense 1954-1962 série policière et d’horreur et une autre dramatiqueArmstrong Circle Theatre
REALISATEURS
STUART E. MCGOWANréalisa près d’un tiers de la série et coréalisa 2 westerns dans les années 50 avant de se lancer dans les series traditionnelles : 1950The Showdown avec Bill Elliott pour la Républic Picures et en 1957 :Snowfire
HARMON JONES qu dirigea une quarantaine d’épisodes fit plus de westerns dans les années 50-60 : The Silver Whip en 1951 :Le fouet d'argent westerns joués par Dale Robertson -- 1953City of Bad Men—1956 A Day of Fury -- 1958 Bullwhip qui conferment sa maitrise de la realization IL fit un film sur la révolution hongroise de 1956 (The Beast of Budapest (1958)
TAY GARNETT eut son heure de reconnaissance grace à ses films de guerre : 1943 :Bataan et :La Croix de Lorraine (The Cross of Lorraine) et le scandaleux 1946 :Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman Always Rings Twice). Il tourna justement avec Robert Taylor un western en 1963 :Les Ranchers du Wyoming (Cattle King) qui semble être sa seule intrusion dans le genre
FLYING A PRODUCTIONS possède un actif imposant: The range rider-- The Gene Autry show -- The adventures of Champion-- Annie Oakley
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Action in the Afternoon
(Death Valley Days)
DUREE :1952-1970
EPISODES : 452 de 25 mn
SAISON :18
CREATION : Ruth Woodman
PRODUCTION:McGowan Productions & Flying A Productions
SYNOPSIS: anthologie d'histoires mettant en scène des
héros du Far West à la fin du XIXe siècle.
REALISATEURS :divers voir ci dessous
SCENARISTES ; Ruth Woodman-- Stephen Lord -- Budd Lesser -- Robert Hardy Andrews –
ACTEURS : Stanley Andrews le narrateur
En France, la série a été diffusée à partir du 3 février 1979 sur TF1.
Elle fut créée en syndication
Elle est considérée comme l’une des séries américaines des plus longues et placée deuxième du western télévisuel par sa durée
PILOTE :
S1.E1 ∙How Death Valley Got Its Name (épisode en N & B)
(Comment la Vallée de la Mort a obtenu son nom)
Un convoi se dirigeant vers l’Ouest va traverser un désert peu hospitalier sous un ciel torride et sur une faible réserve d’eau. Parmi eux se trouvent : James Arcane un ancien cuisinier victime d’un AVC et son jeune fils Charlie et sa femme Virginia ., un autre fermier Bennett Asa et sa femme Sarah, Luis Manley rt d’autres
La traversée sera pénible pour ces pionniers face au soleil aux terres arides et aux conflits humains
Nous sommes dans l’âge d’or du western certes mais pas sur la télévision ; écran populaire et moraliste drainant un cinéma patriotique ,paternaliste avec leurs vérités et leurs constats positifs : si l’homme est méchant parfois ; il n’en est pas moins brave : les pionniers sont les maitres d’œuvre de la nation.
Episode raconté par un narrateur à chaque histoire Stanley Andrews et plus tard par une stzar : Robert Taylor
Réalisateur : Stuart E. McGowan
Scénariste / Ruth Woodman
Acteurs :
BRAD JOHNSON (Lewis Manly) (1924-1981) trainera ses guetres dans des series
PHYLLIS COATES (Virginia Arcane) (1927-2023) est connue pour son interprétation de la journaliste Lois Lane dans le filmSuperman etles hommes-taupes (1951) et dans la première saison de la série téléviséeLes Aventures de Superman et participa à la vogue des westerns de 60 mn tournés à la va-vite : El Paso Stampede (1953) --Gunfighters of the Northwest (1954)-- et dans plus de 70 séries
KIRK RILEY (James Arcane) a peu tourné
LOUISE LORIMER (Sarah Bennett) (1898-1995) peut s’enorgueillir d’être même de façon ephemère dans des films imposants : 1947 :Le Mur invisible (Gentleman's Agreement) d'Elia Kazan-- 1948 :La Fosse aux serpents (The Snake Pit) d'Anatole Litvak -- 1950 :Mark Dixon, détective (Where the Sidewalks Ends) d'Otto Preminger -- 1959 :Le Génie du mal (Compulsion) de Richard Fleischer -- 1964 :Pas de printemps pour Marnie (Marnie) d'Alfred Hitchcock :-- 1977 :Bande de flics (The Choirboys) de Robert Aldrich
JOHN PARRISH (Asa Bell Bennett) (1896-1988) le mpoins méconnu du lot fut un acteur convaincant qui tourna pour les plus grands : 1947 :La Brigade du suicide (T-Men) d'Anthony Mann-- - 1948 : La Dame au manteau d'hermine (That Lady in Ermine) d'Ernst Lubitsch et Otto Preminger : - -- 1949 :Secret de femme (A Woman's Secret) de Nicholas Ray -- 1949 :Samson et Dalila (Samson and Delilah) de Cecil B. DeMille -- - 1953 :Jules César (Julius Caesar) de Joseph L. Mankiewicz -- 1954 : LaComtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa) de Joseph L. Mankiewicz --
NOTES BIOGRAPHIQUES
MCGOWAN PRODUCTIONS la société du scénariste Stuart e. Mcgowan qui produisit Sky King (1951-1962) et des films de série Z
FLYING A PRODUCTIONS la société de Gene Autry qui produisitThe range rider-- The Gene Autry show -- The adventures of Champion-- Annie Oakley)
RUTH WOODMAN (1894-1970) participle de façon moins active à: Suspense 1954-1962 série policière et d’horreur et une autre dramatiqueArmstrong Circle Theatre
STEPHEN LORD
ROBERT HARDY ANDREWS
BUDD LESSER
REALISATEURS
STUART E. MCGOWANréalisa près d’un tiers de la série et coréalisa 2 westerns dans les années 50 avant de se lancer dans les series traditionnelles : 1950The Showdown avec Bill Elliott pour la Républic Picures et en 1957 :Snowfire
HARMON JONES qu dirigea une quarantaine d’épisodes fit plus de westerns dans les années 50-60 : The Silver Whip en 1951 :Le fouet d'argent westerns joués par Dale Robertson -- 1953City of Bad Men—1956 A Day of Fury -- 1958 Bullwhip qui conferment sa maitrise de la realization IL fit un film sur la révolution hongroise de 1956 (The Beast of Budapest (1958)
TAY GARNETT eut son heure de reconnaissance grace à ses films de guerre : 1943 :Bataan et :La Croix de Lorraine (The Cross of Lorraine) et le scandaleux 1946 :Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman Always Rings Twice). Il tourna justement avec Robert Taylor un western en 1963 :Les Ranchers du Wyoming (Cattle King) qui semble être sa seule intrusion dans le genre
FLYING A PRODUCTIONS possède un actif imposant: The range rider-- The Gene Autry show -- The adventures of Champion-- Annie Oakley
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PROCHAI ARTICLE
Action in the Afternoon
center;">
center;">
center;">Rio verde (Something Big)
center;">de Andrew V. McLaglen, 1971 USA
center;">
Nous sommes à l’aube des années 70 le western américain avait tiré sa révérence Quelques cinéastes en fin de carrière tiraient leurs dernières salves (1) . D’autres s’essoufflaient et tentaient de résister avec des films anodins comme malheureusement celui-ci
Son responsable Andrew V. McLaglen œuvra dans le genre après avoir été assistant réalisateur surL'Homme tranquille (1952) de John Ford son père spirituel, de Budd Boetticher et de William A. Wellman spécialistes du western (2) dont il ne sut pas toujours retenir la leçon.Il fit son premier western avec John Wayne :Le Grand McLintock (McLintock!) qu’il fit tourner dans:Les Géants de l'Ouest (The Undefeated) 1969 ;-Chisum1970--:Les Cordes de la potence (Cahil U.S. Marshal) 1973. Il engagea un autre acteur fordien ; James Stewart pour qui il fit outre son premier western : 1966: Rancho Bravo(The Rare Breed) 1968: Bandolero ! films d’une plus grande teneur
Pourtant certains des ses films ont retenu notre attention même si l’humour resta au ras des pâquerettes et la réalisation acceptable . D’autres moindre comme 1966 : Rancho Bravo (The Rare Breed) est un film décousu et décevant est loin d’être le summum du western des années 60 ;les géants de l’ouest The Undefeated 1969 reste surfait ,Bandolero 1968 respire le discours paternaliste, traditionnel et politiquement correct
Son apport au western se concrétisa aussi sur le petit écran il réalisa 96 épisodes du western le plus long de l’histoire de la télé (Gunsmoke 1955-1975) 116 épisodes de Have Gun - Will Travel (1957-1963)
Mais l’homme après cette date ne donnera point de films étourdissants. Il reste un artisan qui rêva d’être John Ford
Deux hors-la-loi dont le chef Joe Baker (Dean Martin ) prépare le coup du siècle . Pour cela ils ont besoin d’une mitrailleuse Gatling que possède l'aventurier Johnny Cobb (Albert Salmi ) . celui-ci demande en échange une femme. Baker va attaquer diligence sur diligence pour satisfaire cette demande, il va s’arrêter sans le savoir sur Mary Anna (Honor Blackman ) l'épouse Morgan du colonel Morgan () a deux doigts de la retraite . Ce dernier va tout faire pour récupérer sa bien-aimée , secondé par un éclaireur Jesse Bookbinder (Ben Johnson )
Mais qu’est-ce que c’est que ce film insipide qui tourne à la parodie vulgaire , l’humour est lourd , les personnages stéréotypés et l’intrigue sans grande surprise et ce n’est pas les superbes paysages et la scène finale vivifiante qui sauve cette ineptie qui manque et c’est un euphémisme d’intérêt
JOYCE VAN PATTEN et JUDI MEREDITH jouent deux sœurs aguicheuses et mangeuses d’hommes et peu crédibles censées amener de l’humour.
ALBERT SALMI est l’obsédé sexuel vulgaire et simpliste comme les personnages qu’il interpréta en 1958 :Bravados(The Bravados) et en 1960 :Le Vent de la plaine (The Unforgiven) en 1967 :Sept secondes en enfer (Hour of the Gun) et 1971 :L'Homme de la loi (Lawman) de Michael Winner

BEN JOHNSON est un acteur f qui fut cascadeur avant d’honorer les films de John Ford ivi fort mal utilisé : 1948 : Le Fils du désert (3 Godfathers)-- 1949 : La Charge héroïque (She Wore a Yellow Ribbon) -- 1950 : Le Convoi des braves (Wagon Maste -- 1950 : Rio Grande . En 1971, il se voit décerner l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour son rôle de Sam le Lion dansLa Dernière Séance (The Last Picture Show).

HONOR BLACKMAN actrice britannique tire son épingle du jeu en ne surjouant pas. Son rôle de Cathy Gale dansChapeau melon et bottes de cuir (The Avengers) à partir de 1962, va lui apporter la célébrité. Elle serra la partenaire de Sean Connery dans le James BondGoldfinger qu’elle retrouvera en 1968 dans un western moyen :Shalako de Edward Dmytryk :

BRIAN KEITH qui avait déjà tourné avec 1966 : Rancho Bravo se montre parfait contrairement à ses partenaires qui cabotinent à souhait . Des grands cinéastes le demanderont Jacques Tourneur--: 1957 : Poursuites dans la nuit (Nightfall) -- Sam Peckinpah 1961 : New Mexico -- John Huston 1967 : Reflets dans un œil d'or --

DEAN MARTIN joue de façon dilettante sans y croire ; ce ne sera pas son meilleur western pour cette interprète qui fit ses meilleurs films dans les années 50 -60 : 1958 : Le Bal des maudits (The Young Lions), de Edward Dmytryk---1958 : Comme un torrent (Some Came Running), de Vincente Minnelli---1959 : Rio Bravo, de Howard Hawks-- 1960 : Un numéro du tonnerre (Bells Are Ringing), de Vincente Minnelli -- 1964 : Embrasse-moi, idiot (Kiss Me, Stupid), de Billy Wilder
(1) Un homme nommé Cheval (1970) A Man Called Horse de Elliot Silverstein etSierra torride (1970) Two Mules for Sister Sara-- Barquero (1970) de Gordon Douglas -- Un nommé Cable Hogue(1970) The Ballad of Cable Hogue de Sam Peckinpah -- Rio Lobo (1970) de Howard Hawks --L'Homme de la loi (1971) lawman de Michael Winner--Valdez (1971) Valdez Is Coming de Edwin Sherin westerns ô combien honorables
(2) Nous devons à William A. Wellman le chef d’œuvre qu’est 1943 :L'Étrange Incident (The Ox-Bow Incident) et à Budd Boetticher 5 films remarquables joués par Randolph Scott comme en 1956 :Sept Hommes à abattre (Seven Men from now) et en 1960Comanche Station

LES FURIESde Anthony Mann 1950
(The Furies)
Sidonis Calysta le 12 juillet 2025 en COMBO
Bonus vidéo (**)
Coffret contient 1 livret un livret rédigé par
Jean-François Giré (60 pages)
le DVD et le BLU-RAY du film
Les furies est l’histoire d’une famille où règne un patriarche Temple C. Jeffords (Walter Huston ) un père veuf d’une fille Vance (Barbara Stanwyck) qu’il idolâtre et d’un garçon passé au deuxième rang. L’action s’ouvre par le mariage de ce dernier Clay (John Bromfield )
Vance sait et devine son père : elle est peut-être la seule résistante à cet oligarque. Elle a pour ami d’enfance Juan Herrera (Gilbert Roland) ennemi juré de son père et pour amoureux Rip Darrow, (Wendell Corey ) un directeur de banque non moins ami du paternel.

Dans ce monde peu amical va s’insérer une idylle Flo Burnett (Judith Anderson) une femme rencontrée par Temple C. Jeffords dont la présence va contrarier qui sent non sans raison en elle une arriviste Temple C. Jeffords Vance va lutter contre cette femme sans scrupule physiquement et psychologiquement au risque de couper les ponts avec son géniteur et de s’allier à ses deux ennemis précités. Et une guerre sans merci ni dommages collatéraux va poindre
Nous sommes den pleine tragédien qui voit des personnages importants voire illustre en prise avec des conflits intérieurs et un destin malheureux. Le sujet est intense du fait de l’implication de la famille ici cellule destructrice et énigmatique
Ne fusse que le personnage de Vance femme possessive aussi, ambiguë ne fusse que par son rôle de fille omniprésente, affectueusement amoureuse du paternel et qui veut reprendre et surtout ne pas perdre sa place de première dame et séductrice même avec son entourage masculin.
D’ailleurs elle n’est point sa fille par accident ; elle est de la même trempe que « son gouverneur » de père : elle se plie mais ne rompt jamais.
L’homme chez Anthony Mann n’est pas une entité parfaite, il se déshumanise pour arriver à ses fins IL est excessif, possessif et dictatorial. Ici il voit grand son maitre à penser n’en est pas moins Napoléon et ses ambitions sont identiques. Anthony Mann impose la tension que le noir et blanc accroit tout comme l’évolution scénaristique qui passe au conflit familial à la vengeance filiale via la pendaison acte tout aussi délictuel que le vol de chevaux et qui est décrété par le patriarche devenu juge, juré et juriste.

Cette résistance subite de la fille à la relation ambiguë avec son géniteur laisse pantois et redonne du tonus à une histoire de bruit et de fureur qui n’en marquait pas.
Cette Vance est une femme exclusive qui, désire être en tête d’affiche face à ces trois hommes qui l’accaparent
Le script est tiré d’un roman de Niven Busch dont les écrits ont donné des films imposants si ce n’est mémorables :La foule hurle The Crowd Roars réalisé par Howard Hawks, sorti en 1932 ; Duel au soleil (Duel in the Sun) et le sombre et magnifique westernLa Vallée de la peur (Pursued) réalisé par Raoul Walsh en 1947 ; deux œuvres où la famille non plus n’est pas épargnée suivi d’autres westerns 1951: Les Aventures du capitaine Wyatt (Distant Drums) de Raoul Walsh et en 1955 :Le Trésor de Pancho Villa (The Treasure of Pancho Villa) de George Sherman aux trames plus reposantes
Premier des dix westerns de ce réalisateur qui va se classer dans les 3 plus grands du genre avec cet apport Presque irréprochable et Presque parfait ; n’ayons pas peur des superlatifs : l’homme est un géant, un faiseur d’histoires comme par deux qui introduisit - et ce ne fut point son seul mérite -James Stewart dans le western lui l’acteur impressionnant canton dans des comédies
Peut-on regretter ce script-là qui se sacrifiât pour imposer la fameuse « Happy end » hollywoodien au lieu du round final
Cela n’enlève à la peinture ô combien riche de ce quatuor infernal qui dévoile que chacun d’entre eux est furieux, frustré et en colère permanente. Le ton est cinglant, glacial et non moins attachant outre le rapport père-fille, celui de la fille et de la mère absente dévoilée par le port de robes de la défunte que l’époux idolâtre transformant sa chambre en mausolée
Autre personnage non énigmatique est Flo Burnett femme calculatrice qui ne cache point son jeu et sera la première victime dans cette famille démembrée
Cinq des 10 films qu’ils tournèrent ensemble furent des westerns (1) dont nous avions pensé que du positif :Je suis un aventurier (The Far Country) 1954 ; Anthony Mann non avare de chefs d’œuvre nous en offre un nouveau, véritable pépite, encore plus sombre plus réaliste et dénonciateur de l’ambition humaine” (sic) dewinchester 73 de 1950 nous ajoutions que c’est une œuvres emplie de pragmatisme. Ce réalisme se retrouve dans la peinture ses personnages tout aussi noirs et fourbes les uns et les autres (sic) dela ruée vers l'ouest Cimarron 1960 “film historique où il traite de l’émergence du racisme il pointe du doigt une ville se vantant de personnifier la démocratie parfaite , montra nt ses règles détestables de sélection , ses politiques arrivistes, son intolérance vis à vis des indiens Quant à son autre chefs d’œuvre la porte du diable film Devil's Doorway nous soulignons
Le film magistral mené rappelant par instant l’impressionnisme allemand des années 20 est impressionnant et marque d’une pierre blanche le genre. Il devient par son parti pris, son non conformisme un film politique, une arme persuasive et son metteur en scène un cinéaste à suivre(sic)

De surcroit il fut le premier en 1950 ou un des premiers à défendre ouvertement la cause des indiens et il sera rejoint par d’autres (2)
Si nous ne plaçons point cet essai parmi les plus réussis de son auteur qui étonnamment et cela confirme son savoir-faire nous proposa la même année 1950 : La Porte du diable (Devil's Doorway) et Winchester '73Diantre quel artiste.
*
Le film frôlant le chef d’œuvre ne perd rien de son intérêt grâce certes à une réalisation dynamique , sobre , à un scénario puissant et à cette troupe d’acteurs superbes :
ALBERT DEKKER indispensable second couteau dans des westerns (1969 :La Horde sauvage (The Wild Bunch) de Sam Peckinpah) , des polars (1944 :Angoisse (Experiment Perilous) de Jacques Tourneur) et des drames (1955 :À l’est d’Éden (East of Eden) d’Elia Kazan)

THOMAS GOMEZ aux personnages ayant un bagout exceptionnel il côtoya en faire valoir des grandes pointures : Yvonne De Carlo (1948: Casbah de John Beery ) Humphrey Bogart (1948 :Key Largo de John Huston) John Garfield (1948 :L'Enfer de la corruption (Force of Evil) d'Abraham Polonsky :)
GILBERT ROLAND par contre il figure principalement au générique de nombreux westerns : 1951 :Le Signe des renégats (Mark of the Renegade) d'Hugo Fregonese -- 1955 :Le Trésor de Pancho Villa (The Treasure of Pancho Villa) de George Sherman--Bandido caballero (Bandido) de Richard Fleischer --1957 :Terre sans pardon (Three Violent People) de Rudolph Maté-- 1958 :Duel dans la Sierra (The Last of the Fast Guns) de George Sherman--1959 :Le Bagarreur solitaire (The Wild and the Innocent) de Jack Sher-- 1964 :Les Cheyennes (Cheyenne Autumn) de John Ford sans oublier son passage dans le western italien avec : 1967 :Je vais, je tire et je reviens (Vado... l'ammazzo e torno) de Enzo G. Castellari1968 :Django porte sa croix (Quella sporca storia nel west) d'Enzo G. Castellari 1968 :Chacun pour soi de Giorgio Capitani
Il sera enfermé dans des rôles hispaniques lui le mexicain de naissance ou d’indien, des types racés, distingués avec une certaine classe

WENDELL COREY fricota avec le western : 1951 :Les Rebelles du Missouri (The Great Missouri raid) de Gordon Douglas où il fut Frank James -- 1966 : Waco et 1967 :Fort Bastion ne répond plus (Red Tomahawk) de R.G. Springsteen- 1968 Le pistolero de l'enfer de Michael D. Moore L’acteur nous a toujours laissé perplexe quant à son jeu malgré une présence et sa filmographie nous donne un peu raison
Seules se détachant sur ses 80 rôles : 1948 :Les Anges marqués (The Search) de Fred Zinnemann -- 1954 : Fenêtre sur cour (Rear Window) d'Alfred Hitchcock -- 1955 :Le Grand Couteau (The Big Knife) de Robert Aldrich --1956: Le tueur s'est évadé (The Killer is loose) de Budd Boetticher

JUDITH ANDERSON est connue pour le rôle de la gouvernante Mrs Danvers dansRebecca d'Alfred Hitchcock et remarquée dans celui de Buffalo Cow Head en 1970 :Un homme nommé cheval(A Man Called Horse), d'Elliot Silverstein. Elle fut aussi la tante rivale de Gene Tierney dansLaura d'Otto Preminger (1944), la mère coupable deLa Vallée de la peurde Raoul Walsh en 1947 et Memnet dans 1956 : Les Dix Commandements (The Ten Commandments), de Cecil B. DeMille

WALTER HUSTON remporta l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pourLe Trésor de la Sierra Madre réalisé par son fils John Huston.IL s’était illustré en 1943 :Le Banni (The Outlaw) de Howard Hughes où il jouait le superbe Doc Holliday et dans un autre western en 1932 :Law and order de Edward L. Cahn scénarisé par John Huston, d'après le roman Saint Johnson de William R. Burnett. Les Furies fut le dernier films de la cinquantaine qu’il fit.

BARBARA STANWYCK géante comme à l’accoutumée , épatante qui se vit offrir les grâces d’un Capra : 1931 :La Femme aux miracles (The Miracle Woman) -- 1932 :La Grande Muraille(The Bitter Tea of General Yen) -- 1941 :L'Homme de la rue (Meet John Doe ---, d’un Wellman, 1932 :Mon grand (So Big!) etThe Purchase Price d’un Billy Wilder qui lui offrit son rôle le plus mémorable , le plus sombre avec en 1944 :Assurance sur la mort (Double Indemnity) , d’un Howard Hawks : 1941 :Boule de feu (Ball of Fire) dun King Vidor 1937 :Stella Dallas , d’un Robert Wise : 1954 : La Tour des ambitieux (Executive Suite)
Celle qui revendiquer des rôles de femme forte s’adonna au western avec des films inoubliables où elle sut se montrer juste : 1935 :La Gloire du cirque (Annie Oakley) de George Stevens -- 1953 :Le Souffle sauvage (Blowing Wild) de Hugo Fregonese -- 1954 :La Reine de la prairie (Cattle Queen of Montana) d'Allan Dwan -- 1955 :Le Souffle de la violence (The Violent Men) de Rudolph Maté : -- 1956 : La Horde sauvage(The Maverick Queen) de Joseph Kane -- 1957 :Quarante tueurs (Forty Guns) de Samuel Fuller : où elle incarne une puissante propriétaire terrienne qui dirige une bande de hors-la-loi Au final une carrière exceptionnelle pour une actrice qui ne l’était pas moins. . C’est dans des rôles de femme tenace, décidée, de leader que l’actrice exploitera le long de sa carrière
NOTES
(1) westerns Winchester '73 (1950), Les Affameurs (1952), L'Appât (1953), Je suis un aventurier (1954) et L'Homme de la plaine (1955).
(2) Sur le territoire des Comanches Comanche Territory (1950) de George Sherman -- La Flèche brisée (1950) Broken Arrow de Delmer Daves avec James Stewart justement -- La Captive aux yeux clairs (1952) The Big Sky de Howard Hawks – etc…

BONUS VIDEO (**)
Blu-ray :
Présentation du film par :
Jean-François Giré (2025, 11’28”)
Olivier Père (2025, 24’17”)
Interview d’Anthony Mann (« The Movies », 1967, 16’38”, VOST)
DVD :
Présentation du film par :
Jean-François Giré (2025, 11’28”)
Olivier Père (2025, 24’17”)
Interview d’Anthony Mann (« The Movies », 1967, 16’38”, VOST)
Bande-annonce (2’13”, VO)
FLESH AND THE SPUR 1956
De Edward L. Cahn USA
Un prisonnier échappé de sa cellule, abat un cowboy dans une grange sans que nous voyions son visage. Par contre celui de la victime est important car il est jumeau de Luke Random (John Agar ) qui jure de poursuivre l’assassin de son frère . son seul indice est un colt volé et réplique du sien
Dans sa recherche il rencontre tour à tour Stacey Doggett ( Mick Connors ) un être imposant, pas très sociable qui fait partie d’un gang très recherche dans la région et Willow (Marla English ) une jeune femme qu’il va la sauver d’une mort certaine d’un bandit

L’opprobre fut jetée sur cette œuvre attirante, parfois maladroite mais avec une personnalité avec sa direction et ses personnages parfois retors et ses scènes violentes et son discours sous-entendus avec ses rapprochements osées ; sexe et Violence, admiration ambiguë entre les deux protagonistes masculins

CHARLES BYRON GRIFFITH était un scénariste, acteur et réalisateur américain qui travailla avec le farfelu et extravagant Roger Corman qui appréciait la démesure et il fut servi avec lui : 1957 : Attack of the Crab Monsters—1959Un baquet de sang----1960 La Petite Boutique des horreurs 1966 Les Anges sauvages ; C’est dire que l’excès ne le dérangeait pas surtout dans une période prude -

EDWARD L. CAHN est un cinéaste mineur aves parfois des films majeurs : Law and Order (1932) était pour ses débuts une œuvre pertinente que nous avons déjà recensée (1) un réalisateur déroutant capable du pire et du meilleur en plus de 100 films et que l’on retiendra pour ses films d’horreur où il avait perdu son ambition : 1955 Le tueur au cerveau atomique Creature with the Atom Brain 1956The She-Creature 1957Invasion of the Saucer Men –1957 La Femme vaudou1958Curse of the Faceless Man
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Pourtant il toucha à d’autres genres :le polar avec en 1935 Confidentielqui narre l’insertion d’une taupe policière chez les malfrats -- Guns, Girls and Gangsters 1945 : Main Street After Dark où les affreux jojos sont principalement des femmes (1959) avec Lee Van Cleef qui parle de braquage d’une banque avec un machisme démesuré ; des films de courte durée et biens ficelés
IL passa de homme à tout faire à homme qui sait tout faire ; il le prouva après sa talentueuse première approche à réaliser des westerns du pauvre : 1959 Gunfighters of Abilene -- Oklahoma Territory – 1960Noose for a Gunman avec Jim Davis un film décousu sans grande intensité malgré une trame mouvementée qui aurait dû être profitable ; loin s’en fautetDouble Embuscade Five Guns to Tombstone – 1961Frontier Uprising toujours avec Jim Davis et Gun Fight et 3 ou 4 autres que nous recenserons. Ses 2 derniers films réalisés en 1962 appartenaient à ce genre et au cinéma d’horreur

Ce curieux et insolite réalisateur eut droit à deux pages dans l’ouvrage de Jean Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier 5O ANS DE CINEMA AMERICAIN .La Cinémathèque Française s’arrêta sur son œuvre et internet propose une bonne dizaine de ses films et seulement quelques films furent édités en DVD
JOHN AGAR porte bien son nom il est hagard et malgré quelques 4 ou 5 films mais guère plus (2), nous ne parvenons point a le reconnaitre comme un grand acteur ; il tournera néanmoins près de 100 films : 1955 :Tarantula ! (Tarantula) de Jack Arnold --La Fille du Docteur Jekyll (Daughter of Dr. Jekyll) d'Edgar G. Ulmer -- L'Affaire Al Capone de Roger Corman -- -- et quelques westerns : 1964 :Condamné à être pendu (Law of the Lawless) et La diligence partira à l'aube (Stage to Thunder Rock) de William F. Claxton-- 1969 :Les Géants de l’Ouest et - 1970 :Chisum de Andrew V. McLaglen - 1971 : Big Jake de George Sherman et John Wayne son partenaire dans les 2 Ford
MARLA ENGLISH abandonna le cinéma en 1957 à l’âge de 22 ans après une quinzaine de films dont Voodoo Woman de Edward L. Cahn son dernier film

MIKE CONNORS inscrit sous le nom de Touch Connors – dans une trentaine de films aussi - est le principal investigateur de ce film marginal et peu attrayant pour les producteurs frileux au point qu’il se chargea de kle produire
Il débuta en 1952 dans des petits rôles (3) dont 5 westerns sans percer jusqu’à la proposition de jouer un détective amateur avec le célèbre Mannix 1967-1975 ; près de 200 épisodes qui le rendront célèbre.
Dans le film il écrase tout le monde par son interprétation juste , de ce personnage de noir vêtu , pervers et ambivalent avec un sourire charmeur et des actes peu sympathiques
(1 )« Ce western hors concours se veut sombre et le noir et blanc en accentue l’assombrissement tout comme le versant tragique au sens grecque du mot avec sa part de dislocation de la famille et celle d’un groupe tout aussi emblématique : la société
Ces 2 aspects soulignés, étudiés et défendus magnifient le discours, la trame et les personnages censés les symboliser ; nous sommes loin du western de cette décennie qui fournissait dans l’ensemble des produits caricaturaux, lisses sans aspérité néanmoins, plus ou moins distrayants
Nous sommes là, n’ayons pas peur devant un produit culturel qui identifie un monde dégénéré sans foi, ni ordre voire conduite pour reprendre le titre original et qui met en danger sa contribution à la démocratie »
(2) 1948 : Le Massacre de Fort Apache (Fort apache) de John Ford -- 950 : La Charge héroïque (She wore a yellow ribbon) de John Ford -- 1951 : Une corde pour te pendre (Along the Great Divide) de Raoul Walsh
(3) 1952Sudden Fear de David Miller- 1955Le jour de la fin du monde de Roger Corman –1956Les Dix Commandements de Cecil B. DeMille etc…
(4) five guns west ( 5 fusils à l'ouest ) (1955) Roger Corman
- the twinkle in god's eye (1955) George Blair
- the Oklahoma woman (1956) Roger Corman
- flesh and the spur (1956) Edward L. Cahn
- Dalton that got away (1960) Jaime Salvador
- stagecoach (la diligence vers l'ouest ) (1966) Gordon Douglas
Django tire le premier
(* Django spara per primo)
réalisé par Alberto De Martino, sorti en 1966.
Après l'assassinat de son père, Django (Glenn Saxson ) apprend avec surprise que celui-ci, qu'il croyait pauvre, lui a en fait laissé pour héritage la moitié de la ville. Souhaitant s'en approprier, il découvre que son père avait été trahi par Kuster, son associé dans le but de s'emparer du magot. Django décide alors de se venger pour l'honneur de sa famille
Drôle de petit western qui sous ses allures de western du dimanche se montre plus original qu’il ne parait ; ne fusse que par son prologue déroutant. Nous y voyons un cowboy taillé une croix chrétienne tandis qu’un cavalier avance vers sa direction trainant sur une seconde monture un mort. L’inconnu invite l’étranger un chasseur de primes qui compte récupérer 5000 dollars avec sa prise humaine .A sa grande surprise son hôte lui donne le nom de l‘homme capturé et décédé et qui lui avoue être le fils de ce dernier avant d’occire son tueur et de se diriger vers la prochaine ville.
L’étranger Glenn Garvin (Glenn Saxson) revient vers son lieu natal où déjà il va se bagarrer avec deux autochtones sous l’œil amusé de Gordon

L’autre témoin de cette scène se trouve être Jessica (Evelyn Stewart ) future épouse de son oncle Ken Kluster (Nando Gazzolo ) banquier dont il apprend qu’il a floué son paternel et que la moitié de la ville lui appartient
Il sera aidé dans sa vengeance par un dandy mystérieux surnommé Doc (Alberto Lupo() et par Lucy (Erika Blanc )et autre originalité : si le héros gagne la partie il ne partira pas avec l’héroïne lasse de ce monde vénal
Le film est bien réalisé contrairement aux westerns italiens d’alors qui pullulaient en Europe ; l’action est bien menée , les personnages bien amenés et les acteurs sans être des tragédiens $convaincants
Django , Ringo Sartana et autres furent annoncés pour attirer un public similaire même si l’action n’avait pas de rapport avec le titre ; ici Glenn Garvin est appelé dans la version française Django

ALBERTO LUPO joua dans des péplums : 1955 : Ulysse (Ulisse) de Mario Camerini -- 1959 : La Bataille de Marathon (La Battaglia di Maratona de réalisé par Jacques Tourneur, Mario Bava et Bruno Vailati -- 1961 : Maciste dans la vallée des lions (Ursus nella valle dei leoni) de Carlo Ludovico Bragaglia-- 1961 : Thésée et le Minotaure (Teseo contro il minotauro) de Silvio Amadio-- 1964 : Hélène, reine de Troie (Leone di Tebe) de Giorgio Ferroni : il apporte une élégance à son personnage énigmatique

ERIKA BLANC joue une fille de saloon alliée de Glenn Garvin ; elle fut présente dans plusieurs westerns : 1966 : Les Colts de la violence (Mille dollari sul nero) d'Alberto Cardone -- 1967 : Trois salopards, une poignée d'or (La più grande rapina del west) de Maurizio Lucidi : -- 1968 : La Vengeance est mon pardon (La vendetta è il mio perdono) de Roberto Mauri -- 1968 : Tête de pont pour huit implacables (Testa di sbarco per otto implacabili) d'Alfonso Brescia – 1970 : Ni Sabata, ni Trinità, moi c'est Sartana (La diligencia de los condenados, autre titre français : Sartana, la diligence de la mort) de Juan Bosch Palau-- 1970 : Django arrive, préparez vos cercueils (C'è Sartana... vendi la pistola e comprati la bara) de Giuliano Carnimeo --- 1972 : La vengeance est mon pardon (L'amico del padrino) de Frank Agrama-- 1974 : La Brute, le Colt et le Karaté (Là dove non batte il sole) d'Antonio Margheriti. A ce jour elle tourne encore après 60 ans de carrière et plus de 100 films

EVELYN STEWART qui tourna sous les pseudonymes de sous les pseudonymes d'Arianna, Arianna Heston, Ida Galli Isli Oberon et Priscila Steele. Tournera aussi en France : 1960 : Une fille pour l'été d'Édouard Molinaro --- 1961 : Madame Sans-Gêne de Christian-Jaque . ses rôles significatifs sont celui de Carolina dans Le Guépard de Luchino Visconti en 1963 et en 1960 : La dolce vita de Federico Fellini
Elle n’oubliera pour autant le westerns spaghetti avec en premier rôle 1964 L'assaut du Fort Texan de Gli eroi di Fort Worth deAlberto De Martino 1965 : Adiós gringo de Giorgio Stegani -- 1965 : Le Dollar troué (Un dollaro bucato) de Giorgio Ferroni -- 1966 : Creuse ta fosse, j'aurai ta peau (Perché uccidi ancora) de José Antonio de la Loma et Edoardo Mulargia – 1968 : Avec Django ça va saigner Quel caldo maledetto giorno di fuoco de Paolo Bianchini 1971 : Les Quatre Pistoleros de Santa Trinita (I quatro pistoleri di Santa Trinità) de Giorgio Cristallini devenany une des starlettes de ce genre italien. A la cinquantaine elles se retirera du cinéma

NANDO GAZZOLO un acteur italien pour le cinéma, le théâtre et la télévision qui, sut tout jouer , doubla plus de 200 acteurs de son pays et d’ailleurs : Richard Widmark , Peter Cushing, ,Yul Brynner, Robert Hossein , Sinatra, Belmondo ,Jean Marais ,Mark Forrest ,Gordon Scott, Ed Fury , Franco Nero etc…

FERNANDO SANCHO sorte de Ernest Borgnine espagnol reconnaissable par son poids et par sa bouille impressionnante joua plus souvent les méchants que les braves gars comme ici et dans une bonne quantité de westerns spaghetti : 1961 : Zorro le vengeur (La venganza del Zorro) de Joaquín Luis Romero Marchent -- 1964 : L'Ange noir du Mississippi (Bienvenido, padre Murray) de Ramón Torrado -- 1964 : Le Justicier du Minnesota (Minnesota Clay) de Sergio Corbucci et Duel à Rio Bravo (Sfida a Rio Bravo ) de Tulio Demicheli et Un pistolet pour Ringo (Una pistola per Ringo) de Duccio Tessari et : L'Homme qui venait de Canyon City (L'uomo che viene da Canyon City) d'Alfonso Balcázar -- 1965 : Cinq Mille Dollars sur l'as (Los pistoleros de Arizona) d'Alfonso Balcázar et Le Retour de Ringo (Il ritorno di Ringo) de Duccio Tessari et Tonnerre sur l’océan Indien (Il grande colpodi di Surcouf) de Sergio Bergonzelli et Dynamite Jim (Dinamite Jim) d'Alfonso Balcáz -- 1966 : Les Sept Colts du tonnerre (Sette magnigiche pistole ) de Romolo Girolami et Colorado (La resa dei conti) de Sergio Sollima et - Arizona Colt (Il pistolero di Arizona) de Michele Lupo et Lanky, l'homme à la carabine (Per il gusto di uccidere) de Tonino Valerii et - Sept Écossais du Texas (Sette pistole per i MacGregor) de Franco Giraldi . Arrêtons-là la liste est trop longue . Il a près de 250 rôles à son actif et ne peut-être étranger au développement du western italien et espagnol

GLENN SAXSON moins charismatique que le précédent tourna peu (18 films dont quelques westerns en tête d’affiche : 1966 : Dieu Est Avec Toi Gringo Vaya con dios gringo de Edoardo Mulargia**1967 Le magnifique Texan Il magnifico Texano de Luigi Capuano---1968 Il lungo giorno del massacro de Alberto Cardone et Une charogne est née Carogne si nasce de Alfonso Brescia. Malgré un physique avantageux il ne restera pas comme u digne représentant du genre